Au Cap Lévi il existe deux ports, commençons par le plus ancien.
( zappez les explications si vous les trouvez trop longues, je vais être "bavarde" ! 😉 )

Port Lévi

Ce port existait déjà à l’époque gallo-romaine et il était un lieu d’intense activité humaine. Les Romains ont utilisé le Port Lévi comme lieu de transit pour l’Angleterre. Leur présence est bien attestée par diverses trouvailles, entre 1783 et 1788 des centaines de médailles romaines à l’effigie de Trajan et de Marc-Aurèle ont été découvertes. Le 18 août 1177 Henri II Plantagenêt, roi d’Angleterre, a accosté à Cap Lévi avec 200 chevaliers anglais pour se rendre en Terre Sainte. A la fin du XVIIème siècle une digue est construite presque aussitôt détruite par la mer. Bien que les navires aient continué de s’y réfugier ce n’est qu’en 1786 qu’un nouveau port ( jetée et quai ) est édifié. La tempête aura raison de la jetée en 1806 et le port ne tardera pas à s’ensabler. Les travaux ne reprendront qu’en 1861-1866 (restauration du quai et allongement de la jetée) puis en 1877-1880 (deuxième jetée de 139 m), donnant au port son aspect actuel. Ceci au moment même où l’activité maritime commençait à décroître ... ( source Mairie de Fermanville )

( désolée pour la piètre qualité des photos ... )

Port Pignot

Construit à l’initiative de Charles Pignot (carrier lillois), ce petit port vit le jour en 1889 à l’Est du cap Lévi pour assurer le transport de la pierre extraite de la carrière juste à côté. Il est actuellement l’un des plus petits de France. De cette carrière on extrayait du granite rose qui servit entre autres à la construction de la rade de Cherbourg, mais aussi du phare de Gatteville, du frontispice des magasins Printemps à Paris, de l'obélisque de Utah Beach ... Ce port est situé dans une zone naturelle, à proximité de terrains du Conservatoire du Littoral.
( source Mairie de Fermanville )

Station SNSM

En 1887 est implan­tée une maison abri de la SCSN (Société centrale de sauve­tage des naufra­gés) près de port Lévi. La même année arrive le premier canot de sauve­tage, un canot en bois de 10,50 m à avirons et voiles : Eline et Sophie. L’abri dispa­raît en 1956, et avec lui la présence d’un canot de sauve­tage à Ferman­ville. Il faudra attendre 1994 pour qu'une station SNSM voie le jour ici à Port Pignot.Elle a démon­tré son utilité avec plus de 120 sorties, et 211 personnes assis­tées, dont 12 sauvées d’une mort certaine.
( source SNSM )

 
Nous sommes jeudi et c'est notre Photo Préférée pour Anika. J'ai choisi de rester à Fermanville avec cette photo prise au Cap Lévi que j'aime beaucoup ...

Demain nous découvrirons le fort.

Excellente journée à vous !

 
Avant toute chose je souhaiterais revenir sur le bug de canalblog. Il a commencé il y a 8 jours et je sais que certain(e)s ne reçoivent toujours ni notifications, ni newsletters. J'ai contacté le support technique, ils m'ont demandé les adresses mail concernées afin de les débloquer. J'en ai fourni 15, il y en a certainement d'autres mais tout le monde ne m'a pas prévenue. Parmi ces 15 une majorité chez Gmail, le reste Yahoo et Orange. Je
les avais personnellement déjà prévenus lundi et tout refonctionne pour moi depuis mardi, je pense qu'ils ont
en effet débloqué mon adresse mail. 

 Petite fée toute ton éducation est à refaire ! On n'arrose pas le mimosa quand il neige, et encore moins quand il gèle ! C'était mercredi, la Normandie a également eu droit à sa petite couche de neige, mais vraiment petite, juste histoire de nous montrer qu'elle existe toujours ...

Neige ou pas neige chez eux retrouvez les autres participants chez Patricia.

Chez Ma' pour son Projet 52 il nous faut cette semaine illustrer éclairages. Qui dit éclairage ne dit pas forcément illuminations, qui ne servent d'ailleurs pas à éclairer, j'ai donc choisi un éclairage intérieur qui fait
" deux en un ", éclairage ... et chauffage ! 😁

Pour Jean-Pierre et ses fleurs du samedi trois jolies petites fleurs d'été, lantana, marguerite, et ipomée. Nos jardins sont maintenant quasiment tous en sommeil, il nous faut puiser dans nos dossiers ...

 Les pensées sont comme les fleurs, celles qu’on cueille le matin
se conservent le plus longtemps fraîches.

 André GIDE

A lundi pour nos Collections de ...

Excellent week-end ... bien au chaud !

 Dans 3 jours c'est la Toussaint et pourtant ... on se croirait plutôt à Pâques ! Pour le temps déjà car il fait
très doux, et parce que ... Melle Pois de Senteur est ressuscitée !!! Ceci étant d'ailleurs probablement les conséquences de la douceur ! Est-ce que Monsieur Nordman va retrouver l'envie de vivre ...? La suite au prochain épisode ... s'il y en a une !!!

Tous les participants à cette photo du samedi ont forcément l'envie de vivre, retrouvez les chez Patricia
mais sur un ancien billet car elle est en pause.

Chez Ma' pour son Projet 52 on doit aujourd'hui illustrer coin lecture. Aïe ... autant le sujet de la semaine dernière était simple pour moi, autant celui-là m'a paru compliqué. Parce que mon coin lecture ( quand je lis ! ) c'est ... mon lit ! Et comme elle ne nous a pas demandé " coin bibliothèque" je n'allais pas non plus vous montrer cette dernière. Et puis hier j'ai eu une illumination, je me suis souvenue d'un marque-page que l'on m'a offert ... en forme de coin, j'avais donc mon coin lecture !!! 

Et pour terminer pour Jean-Pierre et ses fleurs du samedi j'en ai choisi trois de saison, cyclamen chrysanthème, et bruyère ...

 Si la vie n'est qu'un passage, sur ce passage au moins semons des fleurs.

MONTAIGNE

Pour cause de long week-end en famille je ne vous retrouverai pas lundi, mais mardi 1er novembre. Je ne pourrai donc pas passer sur vos blogs ... mais vous n'aurez pas à passer sur le mien ! 😉

A mardi donc pour une sujet d'actualité.

Doux week-end à toutes et tous !

Poursuivons notre déambulation au milieu de cette jolie petite ville ...

La maison Henri IV

Son nom lui aurait été attribué à la suite de la fameuse bataille menée et remportée par Henri IV le 14 mars 1590, car selon les ouï-dire colportés au fil du temps le bon roi Henri y aurait dormi le soir même. Mais c’est faux, l’histoire prouve qu’au dit soir il était à Rosny-sur-Seine chez son ministre Sully. C’est une construction à pans de bois dont le rez-de-chaussée est, depuis toujours, réservé aux activités d’artisanat ou de commerce. Maison de riches marchands, de notables ou maison des corporations, elle date du XVIème siècle. Les poutres sont pour la plupart sculptées, sur la deuxième photo Saint Martin donnant son manteau à un indigent, et au-dessous il se pourrait que ce soit le portrait d'un chef amérindien de Nouvelle-France (Canada), explication ici. ( source Les Vieilles Pierres )

( carte ancienne trouvée sur le net )

Portail de l'abbaye

L'abbaye Notre-Dame d'Ivry fut fondée vers 1071 par Roger d'Ivry, échanson de Guillaume le Conquérant. L'abbaye fut incendiée en 1087, et pillée en 1563 lors de la première guerre de religion. Elle fut relevée à partir de 1668 sous l'abbé commendataire Philippe de Vendôme. Elle fut supprimée, puis vendue comme bien national en 1791. Une filature de coton investit le domaine de l'ancienne abbaye en 1805, puis une fabrique d'instruments de musique, un incendie y eut lieu en avril 1869. Il ne reste de visible du domaine public que le portail d'entrée qui a conservé une partie de son décor du troisième quart du XIIème siècle et une statue-colonne sur les six qui ornaient les piédroits du portail, les deux sont classés.
( sources Wikipédia et panneau sur place )

( désolée pour les containers à poubelles )

( carte ancienne trouvée sur le net, il y a inversion entre le 7 et le 0 )

Le cellier

Située juste à côté du portail de l'abbaye cette bâtisse était le cellier du père supérieur de l'abbaye. Aujourd'hui, après plusieurs transformations, elle abrite un cabinet médical. 

 Pour celles et ceux qui n'ont pas encore pensé à m'envoyer leurs photos de moulins ou de pigeonniers ...
je vous laisse encore un peu de temps !

 A demain pour les défis du samedi.

Belle fin de semaine à toutes et tous !

Voici la suite de notre balade dans ce village que vous avez l'air d'apprécier. J'en profite pour vous remercier d'avoir gentiment pris de mes nouvelles. Je vais mieux mais je suis très fatiguée, d'autant plus que je n'avais pas encore complètement récupéré de ma grippe. D'autre-part je vous rappelle que vous pouvez encore
m'envoyer vos photos de portes pour nos Collections de ...

La Mairie-école

Une première école ( de garçons ) voit le jour en 1843, et en 1855 une seconde est créée pour les filles. En 1881-82 les lois Ferry rendent l'instruction primaire gratuite, obligatoire et laïque. Les écoles sont alors vendues pour réaliser un unique lieu d'enseignement mixte, une mairie-école qui entre en fonction en 1912.

 Les maisons de tisserands

Le bourg abrite plusieurs anciennes maisons de tisserands, datant pour la plupart du XIXème siècle, mais l'activité se pratiquait dès le XVIème siècle. Afin de bénéficier d'un degré d'humidité favorable au travail du fil, ces maisons ont la particularité d'avoir un atelier installé dans la cave, maçonnée à même la roche et éclairée grâce à un rez de chaussée légèrement surélevé. On y tissait le chanvre et le lin avant que la concurrence du
coton ne fasse disparaître l'activité.

 Le four à chaux

La richesse des sous-sols a favorisé le développement de carrières : sable, marbre, calcaire. En 1827 Louis Bigot, membre d’une très ancienne famille du village et maître des forges de Moncor à Chammes, défend devant le conseil municipal un projet de deux fours à chaux. La construction débute vers 1830 et jusqu’en 1915 de la chaux est produite pour l’agriculture et la maçonnerie. L’un des fours est encore visible à la sortie du village.

 Le moulin de Gô

Installé sur une dérivation de la rivière il est attesté dès le XVème siècle et était encore en activité au milieu des années 1930. Dans le bâtiment actuel du XVIIème siècle on peut voir l’ensemble du mécanisme hydraulique, remis en fonction récemment, ainsi que la poquerie, un local technique contenant le mécanisme de transmission composé d’une grande roue dentée qui entraînait les axes de trois meules. Le moulin est ouvert sur rendez-vous et des portes ouvertes ont lieu de temps en temps. Lors de ces journées on a l’occasion de découvrir la fabrication de la farine et de déguster du pain cuit dans le four.

Quelques maisons photographiées dans le village ...

 Mercredi prochain quelques petits bonus.

A demain pour les défis du samedi.

Belle fin de semaine à vous !

 Non, non, ça n'est pas Gavotte qui s'est échappée de la maison pour aller à la jardinerie acheter des fleurs pour sa môman ! Aucune idée de ce que ce chat pouvait bien faire là-bas mais mon mari a eu la présence d'esprit de faire une photo ... eh oui je déteins sur lui !!! 😄

A la jardinerie ou ailleurs retrouvez les autres participants chez Patricia.

Ma' pour son Projet 52 nous invite à faire un retour dans le temps puisque son thème est il y a 10 ans. Les semaines se suivent et se ressemblent ... encore une fois je n'ai pas été inspirée ! Depuis très longtemps je noircis des carnets en écrivant mes activités, l'actualité, le temps qu'il fait ... Mais le 25 février 2013 ... j'étais malade !!! Alors j'ai choisi LA photo que j'ai publiée ce jour-là sur mon blog, prise au Crotoy l'été d'avant ...

 
Pour Jean-Pierre et ses fleurs du samedi j'ai choisi trois photos qui ont été prises cette semaine dans mon jardin, primevère, jacinthe, mimosa ...

 Le mimosa

Sur la route de Saint-Tropez,
Mimosa Monsieur, mimosa Madame
Sur la route de Saint-Tropez,
De Saint-Tropez à La Ciotat,
Cueillez le mimosa,
Cueillez-le pour l’offrir aux dames.

Robert DESNOS

A lundi pour nos Collections de ...

Beau et doux week-end à vous !

... et nous passons de la Touraine à la Bretagne, et plus exactement dans les Côtes d'Armor, à Lanleff, petit village d'un peu plus de 120 habitants. Et la curiosité de Lanleff ... c'est son temple ! Un temple, en Bretagne ...? C'est que qu'on a cru longtemps, un temple gallo-romain, ou peut-être un baptistère mérovingien, ou pourquoi pas un sanctuaire d'origine celtique ? En effet les Celtes ont toujours affiché un profond respect pour
le symbolisme du cercle. Aujourd'hui on sait que l'édifice construit dans un magnifique granit rose est de style roman, et date de la fin du XIème siècle, voire début du XIIème. Quant à son inspiration en cercle elle serait plus d'origine palestinienne ( à l'imitation du Saint-Sépulcre de Jérusalem ) que celtique.

 
Cette construction est donc circulaire, et comporte deux murailles. L’enceinte intérieure est formée de 12 arches de style roman primitif, l'enceinte extérieure dont il manque un tiers était à l'origine constituée de 16 arcades, l'espace entre les deux enceintes est un déambulatoire. Une partie des voûtes le recouvrant est toujours présente, par contre la partie centrale en est dépourvue. Un plan établi en 1735 montre déjà l'édifice sans couverture, y a-t'il quelquefois eu un toit ...?

 
Ce qui reste de l'enceinte extérieure est percé, à intervalles assez réguliers, de 9 ouvertures qui évoquent ce que l’on sait des meurtrières moyenâgeuses.

 
Les colonnes entre les arcades ont toutes perdu leurs chapiteaux, par contre celles de chaque côté des arcades les ont gardés. Hélas la friabilité du grès fait qu'ils se dégradent de plus en plus rapidement et deviennent de moins en moins visibles et compréhensibles.

 
Ils sont presque tous décorés de motifs le plus souvent géométriques ainsi que de nombreuses torsades. Mais aussi, dans certains cas, de représentations d’être vivants: humains, animaux terrestres, volatiles. On a compté plus de 140 éléments décoratifs sur l’édifice. 

 
L’un des plus remarquables est celui qu’Olivier Pagès a nommé « Adam pudique ». La particularité de cet élément décoratif est les grandes mains aux très grands doigts. Contrairement à ce que peuvent penser certains il ne s’agit sans doute pas d’une exécution maladroite puisque l’on retrouve les mêmes caractères sur une autre représentation, découverte en 1972.

 
Le déambulatoire est complété par une chapelle absidiole, il aurait pu y en avoir trois en tout. Au cours du XIXème siècle le bâtiment servit de vestibule à l'église du village, eglise détruite en 1855. Son entrée se trouvait au niveau de cette chapelle absidiole.

( carte ancienne trouvée sur Cartorum )

( dessin de Devrez architecte des MH en mars 1885 trouvé ici )

Juste à côté un petit lavoir avec sa légende :

Une pauvre et affreuse femme fit un troc avec le diable : son enfant en échange de pièces d'or. Lucifer conclut l'affaire et déposa une poignée de pièces sur la margelle de la fontaine, sise près du temple. Puis il saisit l'enfant et l'emporta. Quant la mère indigne voulut récupérer son butin, elle se brûla gravement : les pièces sortaient tout juste des flammes de l'enfer. Dans un cri de douleur, elle lâcha l'or si convoité et les pièces s'incrustèrent à tout jamais dans le granit de la margelle.
Si vous passez par Lanleff, rendez-vous à la fontaine. Vous mouillerez la margelle et 14 pièces apparaîtront. Mais réfléchissez bien avant de les saisir et de les empocher ...

( sources Le temple de Lanleff, Lieux Insolites, BRETAGNE.com )

Pardon d'avoir été si longue mais j'ai trouvé cet endroit passionnant !
Clin d'œil à mon amie Lylou et à son mari.

Joli mois de mars à vous !

 Certes nous avons eu un peu de neige, certes il a gelé quelques jours mais le fait est là, dans les jardins ... ça pousse ! Vous allez me dire que mon jardin est bien abrité et c'est vrai, mais chez ma maman qui a un grand jardin à tous vents ... c'est pareil ! Mon camélia était fleuri avec un mois d'avance, et voilà que mes rosiers poussent, " y'a plus d'saisons ma pov dame " !!!

En avance ou pas, retrouvez les autres participants chez Patricia.

Chez Ma' semaine 5 de son Projet 52, le thème d'aujourd'hui est c'est écrit. Le choix est très, très
vaste, des choses écrites ... il y en a partout ! J'ai donc choisi cette ardoise trouvée à l'entrée d'un restaurant
du village médiéval de Pérouges.

Et enfin pour Jean-Pierre et ses fleurs du samedi j'en ai choisi trois presque de saison, donc photos qui ne sont pas de cette année, tulipe, primevères, et narcisses.

 De la primevère à l'hirondelle, forcent l'hiver à se faire la belle.
Serge ZELLER

A lundi, en attendant ...

Beau et doux week-end à vous !

 Je reviens tout d'abord sur cet hôtel particulier du XVème siècle montré ici jeudi. Merci à Nicole qui m'a donné le lien d'un article de Ouest-France. C'est bien Paritosh Gupta, un investisseur indien, qui l'a racheté et restauré. Cette maison est l'hôtel Poisroux. On sait juste que le bâtiment était habité en 1460 par un certain maître Jean Poisroux et que ce juriste était conseiller à la mairie d’Angers. Tout l’intérieur a été refait à neuf, en laissant le plus possible pierres et poutres apparentes. La partie haute de la tour d’escalier en vis qui menaçait de s'écrouler a été entièrement refaite, et recouverte d’ardoise.
( plus de renseignements sur cet article si ça vous intéresse )

 Voici également une gravure de l'hôtel des Pénitentes montré ici mercredi. A priori des vendéennes, puisque
la prison n'accueillait que des femmes, ont été emprisonnées ici durant la Révolution, un article ici qui parle d'une certaine Marie Ripeau.
 

 Et pour en terminer avec Angers un des commentaires laissés par Nicole :

" Merci pour tous ces beaux reportages qui mettent Angers en valeur et merci à tous tes lecteurs qui aiment !!!!
Tu as su repérer les plus beaux bâtiments du quartier de la Doutre. C'est un quartier qui s'est totalement métamorphosé sur plusieurs dizaines d'années. La rue Saint-Nicolas notamment (qui débouche sur la place de Laiterie et l'Hôtel Sabart en photo) a été entièrement rasée et reconstruite. C'était une rue commerçante digne des livres de Zola. Etant petite je la traversais sans m'arrêter ! Une grande partie de ce côté de la ville, en bordure de la Maine et face au château a aussi été rasée et reconstruite. C'est un quartier qui est très prisé et qui va être traversé, le long de la Maine, par la seconde ligne du tramway.
Merci encore pour tes choix et tes recherches. "

Et pour terminer, que vous soyez seuls ou en famille ...

Joyeuses Pâques à toutes et tous !

 
Et aux non croyants un excellent dimanche !

... de Houlgate sont au nombre d'environ 350. Avant les années 1850 la ville, tout comme Cabourg ou Villers sur Mer toutes proches, sont de modestes villages de pêcheurs. Mais après le milieu du XIXème siècle toute
la Côte Fleurie, mais aussi la Côte d’Albâtre ( du Tréport au Havre ) témoigne de l’attirance pour les bains de mers. La mode vient de Brighton et s’est implantée en France. Du coup, il est nécessaire de construire des
villas pour y séjourner, et même un hôtel. Le chemin de fer commence à se développer, la ligne directe sera
ouverte en 1884 et mettra Houlgate à quatre heures de Paris.  

 
Ancêtres des résidences secondaires des parisiens, les villas de Houlgate ont gardé ce charme désuet. Certaines d'entre-elles ont accueilli des personnes illustres comme les frères Lumière, Paul Deschanel, Roland Garros, ou Gaston Menier petit-fils du célèbre chocolatier.

 
Leurs propriétaires ont pour la plupart voyagé, et le montrent dans la construction de leurs villas inspirées
des maisons mauresques, de l'antiquité romaine, des demeures coloniales de Louisiane, ou avec une touche indochinoise ... Il y en a pour tous les goûts et tous les styles !

 
L’architecture balnéaire se distingue par ses villas de style anglo-normand. Le modèle étant le manoir augeron, les marqueurs obligatoires sont les pans de bois et les toits pentus débordants. Les façades peuvent s’accompagner de décrochements, de pignons exubérants et de tourelles.

 
Les villas peuvent être de tous styles architecturaux : gothique, renaissance ou classique. Avec des balcons ombragés, des bow-windows, des céramiques décoratives, des épis de faîtage en zinc, céramique ou pierre ...

 Dans les années 1870 à 1880 les villas sont toujours imposantes mais plus sobres, les dernières seront édifiées en 1914. Mais c'est la Seconde Guerre mondiale, puis les transports et le soleil du Sud qui sonneront le glas des villas balnéaires de la Côte fleurie. Elles seront mises en vente et livrées aux promoteurs. Mais en dépit des campagnes de démolition, Houlgate saura conserver ce patrimoine exceptionnel.
( sources texte Vagabondage autour de soi, Le Figaro, Normandie-Tourisme )

 Deux cartes anciennes trouvées sur le net ...

Depuis 16 ans l’Office du Tourisme de la station propose un circuit des différentes villas de la ville. Au total 41 villas houlgataises sont recensées dans un petit plan de la ville où un tracé rouge montre le chemin à suivre, accompagné de quelques indications sur celles que l’on va croiser. Elles ont été choisies pour montrer la grande diversité architecturale d’Houlgate. ( source texte Le Pays d'Auge )

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Pardon d'avoir été un peu longue mais je ne voyais pas l'intérêt d'un autre billet. C'est pourquoi exceptionnellement j'ai réalisé quelques mosaïques, le sujet s'y prêtait. A la belle saison nous ferons le
circuit proposé par l'Office du Tourisme, j'aurai de nouvelles photos à vous montrer.

A demain pour les défis du samedi.

Excellente fin de semaine à vous !

En l'occurence ce sera ... deux fleurs, deux histoires ! 😉 Et il était temps car ce sont deux fleurs qui
ont presque déserté nos intérieurs et nos jardins.

Amaryllis

 Le nom amaryllis trouve son origine dans Les Bucoliques de Virgile. L’auteur y nomma une bergère Amaryllis, qui signifie étinceler , en l’honneur de sa splendide beauté. En 1733 le botaniste Linné emprunta
ce nom pour baptiser la ravissante plante, alors peu connue en Europe.

L’hippeastrum, nom botanique de l'amaryllis, provient d’Amérique Centrale et du Sud. Le Mexique, l’Argentine et la région des Caraïbes font partie de ses territoires d’origine. Les premiers à la commercialiser furent les hollandais qui commencèrent à développer des hybrides dès le début du XVIIIème siècle.

Une légende veut que pour annoncer la naissance du Christ les anges utilisèrent des trompettes. On raconte qu’ils créèrent ensuite l’amaryllis à l’effigie de cet instrument de musique pour laisser un souvenir
glorieux de ce jour.

Selon la légende l’amaryllis représente le courage, la fierté et la beauté envoûtante d’une nymphe timide et réservée. À l’instar de la bergère Amaryllis, folle amoureuse d’Alteo et prête à tout pour conquérir son cœur.

Dans le langage des fleurs elle représente la coquetterie et l’arrogance en raison de ses fleurs imposantes, perchées en haut de longues tiges. Dotée d’une beauté impressionnante la fleur véhicule également un message précis ne me résiste pas.

 
L'amaryllis peint par Matisse ...
 

( source texte Interflora et Carrément fleurs )

Crocus

Le nom crocus vient du grec krokos qui signifie safran. Selon le mythe Crocos était un beau jeune homme ami d’Hermès. Lors d’une partie de lancer de disque ce dernier blessa accidentellement et mortellement Crocos. De sa blessure coulèrent trois gouttes de sang qui se transformèrent en une fleur de crocus.

Les crocus sont en majorité originaires des montagnes de la région méditerranéenne, la plus grande concentration se trouvant dans les Balkans et en Asie Mineure. Depuis l’Antiquité, l’espèce crocus sativus 
a été cultivée pour la production du safran, qui vient des stigmates de la plante. La plupart des crocus présents dans nos jardins et jardinières sont dérivés de cette espèce. 

Du XVIème au XIXème siècle la ville de Boynes, dans le Loiret, fut la capitale mondiale du safran. Il existait même une tradition : les bulbes de ce crocus entraient dans les dots des jeunes filles à marier. 

Le safran est utilisé depuis l’Antiquité. Preuve en sont les œuvres d’Homère, de Virgile et de Pline, où la fameuse épice est déjà mentionnée. Les Egyptiens, les Hébreux, les Indiens ou les Perses la cultivaient principalement pour aromatiser les aliments. Mais elle servait également d’offrande aux dieux et de teinture pour les soieries. Les Romains, eux, l’utilisaient en infusion.

Les crocus peints par Pissaro ...
 

( source texte Interflora et Conservation Nature )

Pour terminer, ma participation pour Anika et sa Photo Préférée. J'ai choisi celle-ci du château de Luynes en Indre et Loire au printemps, et derrière les vignes.

 A demain pour encore autre chose !

Excellente journée à vous !

Édit de 7h
Ou comment se réjouir trop vite ... Certes je reçois à nouveau vos commentaires dans ma boite mail ... mais toujours pas les notifications de nouveaux billets ! Je vais être obligée de faire quelque chose que je déteste : visiter vos blogs à partir des commentaires que vous me laissez ! Car je n'ai pas le temps matériel d'aller
chaque jour sur chaque blog pour voir si vous avez ou pas publié, mis à part 2 ou 3 pour qui c'est quotidiennement. Mon adresse mail doit être blacklistée par canalblog ( alors que c'est une Gmail ! ), en espérant qu'elle soit "déblacklistée" très vite !

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Mais avant juste quelques mots pour vous dire que les bugs sont en passe d'être résolus ! 😁 Celui de canalblog tout d'abord, il semblerait que c'était mon adresse mail qui posait problème. Je l'ai changée pour une Yahoo, là j'ai vu que ça fonctionnait, sur les conseils du support technique j'ai ensuite remis l'ancienne et ô miracle ça semble marcher ! Donc méa culpa ... j'ai été mauvaise langue ! Quant à mon bug personnel on va dire que c'est sur la bonne voie, bien qu'hier ... j'étais quasiment aphone ! Bon ça a fait des vacances à Gavotte qui doit parfois se demander pourquoi je parle toute seule ! 😁
Mais revenons à nos moutons ... enfin à notre petit patrimoine, et parlons lavoirs !

Lavoir de l'Ayrolle à Millau ( Aveyron )

Bien qu'il ait des airs de monument romain il ne date que du milieu du XVIIIème siècle. La ville de Millau était alimentée en eau par la source de Vézoubies, eau souvent polluée par les blanchisseuses, et c’est pour éviter ces désagréments que les premiers lavoirs de la cité furent construits en 1674-75. En 1746 l’architecte Jean Ramond, ingénieur du roi, dressa les plans du futur édifice, il les exécutera en 1747. Il s’agissait de rendre un hommage monumental au roi Louis XV, et de doter la ville d’un nouveau lavoir alimenté par l’aqueduc de Vésoubies. L’emplacement choisi fut le faubourg de l’Ayrolle dont il prit le nom. La démolition des portes et des tours du rempart fournit les matériaux nécessaires. Le lavoir en grès ocre se présente en hémicycle avec bassins, et un portique semi-circulaire à neuf arches, la façade étant composée de trois portiques. Il était initialement doté d’une toiture, mais ayant commencé à crouler elle fut abattue en 1773. La grille qui le fermait servait alors aux lavandières ( bugadières en patois occitan ) à faire sécher le linge. Il a servi jusqu'au début du XXème siècle. ( source texte millavois. )

Blangy le Château ( Calvados )

Il est situé en aval de la résurgence de la source qui l'alimente en eau claire. Son architecture est sommaire, il se compose d'un grand bassin rectangulaire dont la margelle inclinée en pierre, derrière laquelle s'installaient les lavandières, est protégée par un toit à longs pans et à croupe couverts d'ardoises dont les poteaux reposent sur des bases en briques. Un bardage horizontal le ferme sur deux de ses côtés.

Lavoir Saint-Médard à Soulgé sur Ouette ( Mayenne )

La pompe à bras du lavoir est surmontée d'une statue de saint Médard provenant du rétable de l'ancienne église aujourd'hui détruite.

Lavoir Saint-Jean à Commana ( Finistère )

Il est situé au lieu dit Mougau Bihan, près d'une allée couverte, et comme la plupart des lavoirs date du XIXème siècle. Juste à côté et aussi grande que lui la fontaine Saint-Jean, autrefois il existait également une chapelle.

Et puis en retard ma participation au Lundi Soleil de Bernie, dernier lundi en vert. J'ai cette fois-ci choisi l'entrée de la serre dans le parc du château des Ravalet à Tourlaville, près de Cherbourg.
 

 
Pour terminer, suite à mon billet Une fleur, une histoire de jeudi dernier je voudrais mettre l'une d'entre vous à l'honneur, il s'agit de Francine qui a dessiné ces deux amaryllis aux pastels secs ...

Je vais reprendre mes visites chez vous dès aujourd'hui, j'ai forcément loupé plein de choses mais de toutes façons même si j'avais reçu vos notifications je n'étais pas en état pour naviguer de blog en blog, je me suis complètement déconnectée pendant 4 jours.

Je vous retrouve vendredi pour tout autre chose.

Et n'oubliez pas vos photos pour lundi !

Bon mercredi à toutes et tous !

Comme à chaque découverte d'un lieu en France ou ailleurs, j'aime terminer mes " reportages " par quelques morceaux choisis, un petit vrac de choses diverses et variées. Et je vais commencer par les portes. Elles se ressemblent toutes plus ou moins, entourées de pierre et colorées ( surtout jaune et bleu ), ce qui égaie certaines ruelles plus sombres. Il s’agit de reliquats de l’époque portugaise, lorsqu’Essaouira était connue de tous les marins du vieux continent sous le nom de Mogador. Certaines portes sont même ornées de faïences
qui rappellent les azulejos de Porto ou Lisbonne.

 
Essaouira l'ensorceleuse

Remparts des alizés
Goélands messagers
Murs blancs immaculés
Reflètent un soleil illuminé
Portes bleues entrebâillées
Donnant sur une mer agitée…

 
Ruelles étroites mouillées
Furtivement traversées
De femmes drapées
D’un HAÏK* arrimé
Qui laisse entrevoir à l’horizon
Un regard immense et fascinant
Juste à l’abri d’un muret
Deux beaux chats tigrés
Somnolent les pattes étirées
Leurs petits sous un carton abrités…

 Échoppes d’Artisans animées
D’objets de thuya présentés
Par des mains d’artistes sculptés
Des toiles de maitres exposées
Des tapis aux mille couleurs décorés
De musc et d’ambre parfumés…

 
Gargotes alignées restaurées
Poissons de toutes variétés
Terrasses de bistrots bondées
De gens flegmes attablés
Devant leur tasse de café
Regardant les touristes passer
Et rêvant d’ailleurs et de l’Etranger
Foule battante écrasante
Souvent envahissante…

Mohamed AOURAGH
( Cris du Maroc – Gap Editions )

 Cette dernière photo sera ma participation chez Anika pour ma Photo Préférée.

A demain pour ... je ne sais pas encore !

Belle journée à toutes et tous !

Nous ne sommes pas très loin de Pélussin où est située la fresque montrée hier, mais nous sommes dans le département du Rhône. Le village d'à peine 1000 habitants est situé au pied du mont Monnet, un des sommets du massif du Pilat, il est très étendu et comporte plusieurs hameaux.

Les paysages autour du village

Quelques éléments de ce petit patrimoine que j'aime tant :

Un puits sur une petite place

Une porte

Deux fontaines

Et un lavoir à impluvium à la sortie du village restauré en 2017

 Rien d'exceptionnel, pas de maisons particulièrement anciennes mais un petit village tranquille qui m'a beaucoup plu. Lundi nous partirons à la découverte d'un hameau à quelque km de là.

A demain pour les défis du samedi.

Excellente fin de semaine à vous !

Je vais durant 3 ou 4 billets vous emmener en balade dans cette jolie petite ville de l'Eure que nous avons découverte au mois d'août. Située en bord de Seine, ville frontière entre le duché de Normandie et le royaume de France, cette situation géographique a fait de Vernon un lieu stratégique dès le Moyen Age. De cette époque les témoignages sont encore nombreux, Vieux-Moulin, maisons à colombages, collégiale, vestige du château de Philippe-Auguste ... Le nom de Vernon signifie " la plaine des aulnes " ou " la plaine marécageuse " ou encore " l'endroit planté d'aulnes ", qualificatifs qui décrivent bien la géographie de la ville dont les plaines alentour étaient encore plantées de nombreux aulnes et marécageuses, avant le remplacement d'une partie de ces arbres par des peupliers hybrides, et des travaux d'assèchement.

En arrivant j'ai commencé par aller à l'office du tourisme pour prendre un plan de la ville ... j'aurais pu m'abstenir il est inintéressant ! Nous avons traversé la Seine toute proche pour nous rendre rive droite voir
un lieu emblématique de la ville que vous avez découvert il y a quelques semaines dans un RV Reflets ...

Le Vieux Moulin

Ancien moulin à eau il est le dernier témoin des moulins ayant existé à cet endroit. Devenu simple maison à colombages, il fut construit au XVIIème siècle à cheval sur deux des piles du pont médiéval du XIIème siècle qui, en traversant la Seine à hauteur de l'île du Talus sur laquelle il prenait appui, reliait la commune
de Vernonnet à celle de Vernon. 

 (on ne la voit pas mais l'île du Talus est à droite )

 Il était à roue pendante c'est à dire qu'elle était réglable en hauteur et pouvait ainsi s’adapter au niveau de la Seine qui a été très variable pendant des siècles avant l’installation de barrages. Entre 1925 et 1930 il appartenait à un compositeur de revues, Jean Nouguès, qui aménagea un dancing sur une péniche amarrée à proximité, puis il le vendit à un Américain.

( pas de chance, le moulin était en travaux ! )

 À la suite de la mort du propriétaire en 1947 la ville entreprit sa rénovation en raison des nombreux dommages causés lors des opérations militaires de la seconde guerre mondiale. Aujourd'hui il s'agit d'une des rares bâtisses sur un pont en France. Il a servi de décor à Claude Monet ( Giverny est tout près ), ainsi qu'au tournage des Mystères de Paris avec Jean Marais.

" Vieille maison sur le pont " Claude MONET ( photo du net )

 
Juste derrière et vous le voyez sur cette photo ...

 
Le château des Tourelles

Construit au XIIème siècle il était au départ une forteresse destinée à protéger l'entrée du pont médiéval. En 1763 ( une inscription latine l'atteste ) le seigneur de Vernonnet pourvut le château de toits en poivrière, et aménagea de grandes ouvertures dans les façades. En 1765 un négociant rouennais l'acheta pour y créer une importante minoterie, le blé était moulu par les meuniers du pont et la farine conditionnée puis stockée dans le château et dans divers bâtiments à proximité. La minoterie fut la cible des vernonnais affamés durant la Révolution Française, et servit de prison durant la Terreur en 1793. Le château subit des dégâts durant la seconde guerre mondiale, l'une des tourelles a dû être reconstruite.

 
Nous repartons en sens inverse et empruntons à nouveau le pont face à la ville ...

 La collégiale et l'Hôtel de Ville que vous ne reverrez pas ... pour cause d'inhumation et de travaux !

 Et la Tour des Archives ... que vous reverrez ! 😉

A demain pour la suite, nous rentrerons dans la ville.

Excellent mercredi à vous !

 
Juste un petit billet pour être à jour dans mes défis, et pour lequel je vais fermer les commentaires.

Pour Ma' et son Projet 52 la semaine dernière il fallait illustrer faire la fête. Pas de fête sans bulles
( enfin pour moi ! 😉 ), ici celles du prosecco pour un spritz, à l'occasion des 80 ans de ma maman ...

Cette semaine il nous faut illustrer ma photo de l'année. Je n'aurais pas la prétention de dire qu'elle est particulièrement réussie ... mais elle me plaît ! Vous l'avez déjà vue pour un autre défi ...

Et puis lundi c'était la dernière de 2022 pour Bernie et son Lundi Soleil dont le thème est toujours hiver, voici une bonne couche de neige il y a quelques années dans mon jardin ...

 A dimanche pour les vœux, et à mardi pour nos Collections de ...

Bon réveillon à toutes et tous !

 L'extrême douceur de ces dernières semaines avait permis aux plantes de démarrer, ici la pivoine arbustive de ma maman, mais l'épisode actuel de neige et de gel risque de refroidir leurs ardeurs ! 😁 Il reste maintenant à espérer que les futures floraisons ne soient pas compromises ...

Neige ou gel chez eux ...? Peu importe, retrouvez les autres participants chez Patricia.

Chez Ma' pour son Projet 52 le mot à illustrer est particulièrement d'actualité puisqu'il s'agit de hiver. Et j'ai choisi de vous montrer non pas du froid ( c'est pour la semaine prochaine ! ) mais ce qui peut aider à le combattre à savoir ... du chaud ! Et plus précisément du vin chaud, que je bois chaque samedi matin d'hiver en allant faire mon marché, sauf aujourd'hui ... je ne bouge pas ! 

Édit de 9h : quand je dis que je bois du vin chaud le samedi matin ça n'est bien sûr pas à 8h, plutôt vers 11h, c'est le week-end, je ne me lève pas aux aurores ! 😁

Et enfin pour Jean-Pierre et ses fleurs du samedi encore des fleurs d'actualité, ma première fleur de camélia ( avec un mois d'avance ), une rose blanche offerte par mon fils, et mes hellébores ...

 Une fleur ne pense jamais à être en concurrence avec la fleur qui est à côté d'elle. Une fleur s'épanouit, c'est tout.
Zen SHIN

Et puis c'est la journée des câlins aujourd'hui, ça ne peut pas faire de mal !

Nous nous retrouverons lundi, en attendant ...

Beau week-end à toutes et tous !

 Terminons la visite de ce côté d'Angers par un petit "vrac".

Le théâtre

Un théâtre est présent à Angers dès l'époque gallo-romaine. Un théâtre municipal y fut construit en 1794 dans les anciennes Grandes Écoles de la place du Ralliement qui ouvrit en septembre 1795. Au XIXème siècle Angers vécut une importante activité musicale, et plusieurs formations s'y développèrent. Dans la nuit du 4 au 5 décembre 1865 un incendie détruisit le bâtiment. La municipalité décida de sa reconstruction, qui débuta en 1867, son inauguration eut lieu en 1871. Il est construit en tuffeau et pierre de taille, et c'est un théâtre à l'italienne qui contient 723 fauteuils. ( source Wikipédia )

 
La tour Saint-Aubin

C'était le clocher de la plus ancienne abbaye d'Anjou, fondée au VIème siècle et détruite en partie à la Révolution. Cette abbaye trouve son origine dans une basilique funéraire élevée pour abriter le tombeau de l'évêque Aubin. Ce clocher de 54 m de hauteur a été élevé au XIIème siècle à côté de l'abbaye. Il servait aussi de tour de guet et disposait de ses propres défenses avec ses meurtrières et son puits. Lui n'a pas été démoli à la Révolution pour pouvoir servir de poste d'observation. Au cours du XIXème siècle elle devint par la suite une tour à plomb pour la fabrication des plombs de chasse. Elle accueille aujourd'hui des expositions.
( L'abbatiale a été détruite en 1811 pour créer une place, et le cloître a été intégré au nouvel Hôtel de Préfecture du Maine et Loire ) ( source texte LOCATIPIC )

 
Place Sainte-Croix

Elle est située dans le centre d'Angers derrière la cathédrale Saint-Maurice, et abrite la Maison d'Adam vue dans mon deuxième billet. Lors de travaux on a découvert les vestiges d'une voie romaine ainsi que ceux d'une église qui a donné son nom à la place, Sainte-Croix. Cette modeste église fut démolie en 1791. Ces découvertes même sommaires ont permis de restituer en quasi-totalité l’espace médiéval de cette place qui se réduisait à l’origine à un simple carrefour.

 
Statue

Au milieu de cette place la statue de Charles-Émile Freppel évêque d'Angers à partir de 1870. Cette statue, don du diocèse, fut érigée en novembre 1923, elle fut fondue en 1942 sous le régime du Vichy et celle que l'on voit aujourd'hui est une statue en pierre de 1949.

Enseigne d'une ancienne herboristerie, mosaïque d'Isidore Odorico comme l'Hôtel Continental hier.

La Jeune femme assise sculpture de Antoniucci Voltigiano dit Volti, sculpteur italien souvent comparé à Maillol.

Maison à l'Arlequin

Cet arlequin de bois monte la garde au-dessus de la porte d'entrée d'un magasin de vêtements de la rue de Romain. C'est l'ancien propriètaire, peintre-décorateur, qui en avait fait l'enseigne de sa droguerie. Coiffé
d'un bicorne et masqué d'un loup noir, il porte l'habit traditionnel à losanges multicolores. Ceux-ci se marient parfaitement avec les motifs géométriques de la toiture d'ardoise. Clin d'oeil à la commedia dell'arte, se personnage vit à quelques pas de l'entrée des artistes du théâtre municipal d'Angers.
( source texte Petit Patrimoine )

 
Pour ce qui suit je n'ai trouvé aucun renseignement.

 Comme toujours, cartes anciennes trouvées sur le net.

A demain pour tout autre chose.

Excellent jeudi à vous !

... notre visite du village d'Estaing, l'un des plus beaux Villages de France. Je voulais vous préciser que nous avons fait la visite sous la pluie, mes photos étaient donc très sombres, j'ai dû les éclaircir avec Photofiltre. 

Le château

Construit sur un promontoire dominant le Lot et le pont gothique, ce château fut pendant près de huit siècles
la résidence de la famille d'Estaing, l'une des plus illustres du Rouergue. Du XIème au XVIIIème siècles les bâtiments ont évolué en s'adaptant aux besoins et aux modes de chaque génération. Les styles roman, gothique flamboyant et renaissance se partagent les façades. En 1794 l’édifice, confisqué et morcelé, est vendu par l’Etat comme bien national. A partir de 1836 il devient la maison mère de la Congrégation religieuse Saint-Joseph d’Estaing avant d’être cédé à la commune d’Estaing en 2000. Classé Monument Historique en 1945 l’édifice devient en 2005 la propriété de la SCI du Château d’Estaing constituée par Valéry Giscard d’Estaing, ancien Président de la République. ( sources Le château d'Estaing et Estaing Douze )

 
L'église Saint-Fleuret

Ce bel édifice du milieu du XVème et début du XVIème siècle est de style gothique et est doté de riches ornements, il est dédié à St-Fleuret, évêque d'Auvergne des VIème et VIIème siècles, et renferme ses reliques.

 
Sur le parvis de cette église se trouve une croix. L'originale date du XVème siècle mais elle était abîmée,
étant classée il a été décidé de ne pas intervenir sur la pierre. Le choix fut de mouler l'œuvre originale afin 
de reconstituer les lacunes sur la reproduction réalisée en mortier Altar.

 
Et tout près, au sol, ce cœur en galets, ou pierres ...

 
Ponts

 Bien sûr il y a le pont gothique qui enjambe le Lot, mais il y a aussi deux petits ponts de pierre sur
la Coussane, un de ses affluents ...

La mairie

Inscrit en 1975 au titre des monuments historiques pour ses façades et toitures, l'actuel bâtiment de la mairie et de l'office de tourisme a été construit au XVIème siècle pour servir de collège de prêtres. 

 A mardi pour la suite, demain les défis du samedi.

Belle fin de semaine à toutes et tous !

Mais avant quelques mots à vous dire ... Il était prévu que je prenne ma pause à partir du dimanche 30 juillet mais suite à l'opération de ma maman et à tous les problèmes qui ont suivi je vous avoue être épuisée physiquement et moralement. Je serai donc en pause dès ce soir, et ce jusqu'au 27 août. Ces 5 semaines risquent d'être également intenses car quand elle quittera l'hôpital maman n'aura pas d'autre choix que d'aller en maison de convalescence. Il faudra donc que je lui rende régulièrement visite ... sauf si elle est envoyée à un endroit où il n'y a ni train ni bus ! Guillaume sera en vacances dans une semaine, mon mari dans deux, je croise les doigts pour qu'on puisse faire quelques balades, sachant qu'on sera obligés d'emmener Guillaume ...

 Je n'ai pas grand chose de plus à me mettre sous la dent que la semaine dernière ! Pas grand chose ...? Mais si bien sûr ... la brioche aux pralines que j'ai faite dimanche dernier ! Et sans vouloir me vanter ... elle n'était pas mauvaise la preuve ... il n'y en a plus ! 😁

Qu'ils aient ou pas quelque chose à se mettre sous la dent retrouvez les autres participants chez Patricia.

Ma' pour son Projet 52 nous propose d'illustrer aujourd'hui couleur vive. Renseignement pris la couleur vive pas excellence ... c'est le jaune ! Un couleur comme vous le savez que je n'aime pas trop. Mais il n'empêche que j'en photographie malgré tout, et j'ai su de suite où j'allais vous emmener ... sur l'île d'Oléron ! Là-bas des cabanes d'ostréiculteurs ont été transformées en cabanes d'artistes, en particulier à Château d'Oléron. Mais ça n'est pas là que je vais vous emmener, c'est un peu plus au nord, à la Baudissière ...

Et enfin même si Jean-Pierre est en pause voici des fleurs, j'ai choisi des nénuphars ( et non pas nénufars, je déteste cette graphie ! ) dont l'un avec une intruse que vous reconnaitrez aisément ...

 Voilà, il me reste à vous souhaiter un bel été, que vous partiez ou pas. Nul n'est besoin d'aller loin pour se détendre, pour profiter des amis ou de la famille, ou pour découvrir de nouveaux endroits. Je vous dis donc
au lundi 28 août pour nos Collections de ...

Beau week-end à toutes et tous !

 Un petit indice pour vous faire deviner où nous étions en vacances ! 😉 Trop facile ... l'Alsace !!! Mais non je blague, beaucoup plus à l'ouest ! Photo faite dans le village de Saint-Suliac en bord de Rance, labellisé " Plus beau village de France ". Et je vous invite à aller voir ici chez Anika les cousins de ce petit couple, photo qu'elle a faite dans une maison presque voisine. Anika qui était donc en vacances dans la même région que nous, et que nous avons eu plaisir à rencontrer jeudi dernier, avec son gentil mari.

Alsaciens, bretons ou autres, retrouvez tous les participants chez Patricia qui fait sa rentrée !

Ma' pour son Projet 52 nous propose d'illustrer sur l'eau. Un bateau, un nénuphar, un canard ... c'était un peu facile, j'ai choisi ces fleurs qui flottent dans une coupelle à l'entrée d'un resto de Can Tho au Vietnam ...

Je ne sais pas quand Jean-Pierre revient de vacances, prochainement je suppose, mais je vous offre malgré tout cette jolie rose rouge ...

 A lundi avec l'été retrouvé.

Beau week-end à toutes et tous !

Nous voici de retour pour le 94ème opus de nos Collections de ..., mine de rien on s'achemine tout doucement vers la 100ème ! 😃 Cette fois je vous demandais des commerces anciens, enseignes
en fer forgé ou peintes. Je pense que ce thème était un peu plus compliqué, plusieurs m'ont dit ne rien
avoir à me proposer. Nous sommes malgré tout 23 à avoir participé et vos photos, outre la France, vont nous emmener en Autriche, en Belgique, en Italie, au Maroc, et en Suisse. Je n'ai hélas trouvé aucun poème, on va donc passer directement aux photos !

Brigitte
1 - enseigne à Amboise ( Indre et Loire )
2 - ancienne boutique à Pontrieux ( Côtes d'Armor )

 Monique M. ( sans blog )
3 - enseigne à Eguisheim ( Haut-Rhin )
4 - anciennes boutiques à Périgueux ( Dordogne )

Faby ( sans blog )
5 - bains de Châteaudun, anciens bains publics, rue du Faubourg Montmartre à Paris ( 18ème arrond. )
6 - enseigne d'un gainier d'art passage Lhomme à Paris ( 11ème arrond. )

 Véronique
7 - pharmacie dans le vieux Boulogne sur Mer ( Pas de Calais )
8 - une partie de l'intérieur d'un atelier de décorateur-tapissier à Saint-Aignan ( Loir-et-Cher )

 Rose
9 - enseigne à Ambert ( Puy de Dôme )
10 - ancienne boutique à Le Vernet La Varenne ( Puy de Dôme )

 Pascale
11 - enseigne à Aubigny sur Nère ( Cher )
12 - ancienne boutique à Aubigny sur Nère ( Cher )

 Anika
13 - 14 - enseignes à Lyons la Forêt ( Eure )

 4'Ine
15 - ancienne boutique à Castres ( Tarn )

 Brigou
16 - enseigne quelque part en Autriche ...
17 - enseigne quelque part en Italie ...

 Danièle
18 - enseigne à Mons ( Var )
19 - enseigne dans le vieux Grasse ( Alpes-Maritimes )

 Klara
20 - enseigne à Niort ( Deux-Sèvres )
21 - enseigne quelque part en France ...

 Jean-François
22 - ancien bureau de poste à Najac ( Aveyron )
23 - enseigne à Rissani ( Maroc )

 Lili
24 - ancienne bibliothèque à Beaumont sur Sarthe ( Sarthe )
25 - enseigne à Beaumont sur Sarthe ( Sarthe )

 Nicole
26 - enseigne peinte à Brantes ( Vaucluse )
27 - ancienne boutique au Thor ( Vaucluse )

 Catichou
28 - magasin en trompe l'œil à Avignon ( Vaucluse )
29 - magasin en trompe l'œil à Fresnay sur Sarthe ( Sarthe )

 Lylou
30 - magasin en trompe l'œil à Beauvoir ( Manche )
31 - boutique ancienne à Saint-Malo ( Ille et Vilaine )

 Monique L. ( sans blog )
32 - enseigne à Confolens ( Charente )
33 - enseigne à Limoges ( Haute-Vienne )

 Églantine
34 - 35 - enseignes peinte à Revel ( Haute-Garonne )

 Huguette
36 - 37 - boutiques à Mohamedia ( Maroc )

 Mireille B.
38 - ancienne boutique à Chomerac ( Ardèche )
39 - ancienne boutique à Pont en Royans ( Isère )

 Monique R. ( sans blog )
40 - photo d'une carte ancienne représentant un café-restaurant quelque part en Belgique ...

 Renée
41 - ancien comptoir de pharmacie au musée de la Pharmacie à Bâle ( Suisse )
42 - enseigne joliment fleurie quelque part en Suisse ...

 Et enfin les miennes
43 - ancienne boutique à Chalonnes sur Loire ( Maine et Loire )
44 - enseigne peinte à Andance ( Ardèche )

 Bien que je l'aie déjà fait au fur et à mesure en accusant bonne réception de vos photos, encore un immense MERCI à vous. A ce sujet ( car le cas s'est posé lors de la précédente édition ), si je ne vous réponds pas lorsque vous m'envoyez des photos, c'est que je ne les ai pas reçues, et je vérifie mes spams chaque soir. Dans ce cas il vous faut me les renvoyer. Nous nous retrouverons le lundi 25 septembre pour une collection de fontaines, puits, ou lavoirs. Dorénavant j'essaie d'élargir un peu les thèmes car certain(e)s me disent être à court de photos. Vous avez jusqu'au vendredi 22 septembre pour m'envoyer 1 ou 2 photos.

J'ai publié mes défis hier donc je vous dis à jeudi pour tout autre chose.

Excellente journée à vous !

Et bien non, cette fois encore je ne vous parlerai pas musique, mais cette chanteuse de l'entre-deux-guerres
doit bien son nom à ce cap ! Je vous emmène donc ce matin ... au Cap Fréhel ! Dominant une mer émeraude
de plus de 70 m, ses falaises de schiste et de grès rose offrent l’une des plus belles vues de Bretagne. Ses landes nous régalent de mai à octobre d'une symphonie de couleurs, le jaune éclatant de l’ajonc mêlé au rose
de l’armerie au printemps, le violet des bruyères en été. Ses falaises, à pic comme des murailles, abritent
des centaines d’oiseaux nicheurs. ( source Tourisme Bretagne )

( le cap vu de Fort la Latte )

 La première chose qu'on voit en arrivant ... ce sont les phares ! 

Le plus haut, et le plus récent, a été construit à partir de 1946, et inauguré en 1950. Haut de 32 m sa lanterne domine la mer de 103 m. Par temps clair son feu est visible à plus de 100 km. Il remplace un ancien phare construit entre 1845 et 1847, électrifié en 1886. Les troupes allemandes le détruisirent en août 1944.

 
A sa gauche le vieux phare, ou tour Vauban, en granite, fut construit sous Louis XIV en 1701 par un des disciples de Vauban, Jean-Siméon Garangeau, qui fut nommé « ingénieur en chef et directeur des fortifications de Saint-Malo » en 1691 et le restera jusqu'à sa mort. À l'époque on y brûlait notamment de l'huile de poisson. Il est constitué d'une tour ronde et d’un escalier à vis donnant accès à trois niveaux, les magasins
et le logement se trouvant au rez-de-chaussée.

On avance dans la lande vers la pointe, derière nous les deux phares dont je viens de vous parler.

 
Et devant nous un phare plus ancien ...

En 1645 le Victor, navire de commerce comptant 140 hommes à bord, sombra alors qu’il rentrait à Saint-Malo, l’approche du port étant très délicate. Les Malouins demandèrent à Louis XIV l’autorisation de bâtir une tour à feu qui guiderait les marins vers l’entrée du chenal d’accès au port. C’était une démarche novatrice car le royaume comptait alors moins de 10 phares, desservant chaque fois un port militaire. En 1687 le roi donna son autorisation. Des terres furent achetées sur la pointe du cap Fréhel et les armateurs y firent bâtir une petite tour ronde, disposant en son sommet d’un gros réchaud où étaient brûlés des flambeaux de suif et de térébenthine. Le fanal fut très utile mais son feu s’éteignait par gros temps, et sa lueur faible se distinguait mal dans la nuit. C'est pourquoi fut construit 14 ans plus tard le phare vu au-dessus. 
( source Le Peuple Breton )

Rochers de grès rose ...

 
La flore : ajoncs, bruyères, et cinéraires maritimes ...

 
Les cairns à priori ne sont pas interdits ici ...

 
Le Cap Fréhel

... aujourd'hui à la découverte d'un joli village de l'Aveyron, Montrozier. Peuplé d'un peu plus de 1700 habitants il se situe au nord est de Rodez, et était une propriété des Comtes de Rodez. Le vieux village domine la vallée de l'Aveyron, séparant le Causse Comtal au Nord, du massif des Palanges au Sud.
Pas de choses exceptionnelles à voir, mais un très joli village à découvrir.

Le pont 

Ce pont sur l'Aveyron est une des merveilles du village. Tout en pierres de taille il fut édifié au XVème siècle avec cinq arches. Comme les anciens ponts il n'est pas plat mais monte jusqu'au centre où se situe une croix chrétienne, puis redescend. Il date de l'époque où les Comtes de Rodez venaient résider au château. Il laisse passer le trafic automobile six siècles plus tard. ( source monnuage )

 
Le château

Le château actuel, initialement construit au XIIIème siècle, est attribuable principalement à la seconde moitié du XVème siècle. C'est une construction défensive avec des mâchicoulis. Il était la résidence préférée des comtes de Rodez au XIIIème siècle. Il fut un haut lieu de rencontres culturelles au temps du comte Henri II protecteur des troubadours. La bâtisse passa rapidement par mariage aux mains des Armagnac, puis des d'Alboy, des Colroy, et à la fin du XIXème siècle à Louis Denayrouse, le co-inventeur du scaphandre ! Au fil
du temps le château a subi plusieurs modifications, il est inscrit depuis 1976 sur la liste des Monuments historiques. ( source FLANERBouger )

 
Au fil des rues ...

 A demain pour ... je ne sais pas encore !

Excellent mercredi à vous !

 
Avec un peu de chance . . . j'aurai du muguet à mettre sur ma table de Pâques ! C'est fou ce que tout est en avance cette année, il fautr dire que nous avons paraît-t'il eu le mois de mars le plus chaud depuis . . . 1900, ex-aequo avec 1957 ! 

Alors courrez voir si les participants à cette photo du samedi ont eux aussi de l'avance, liste chez notre amie Patricia !

Pour Jean-Pierre et sa Rose du samedi la consigne était aujourd'hui " Libre expression ". J'ai donc choisi cette jolie rose striée photographiée en juin 2014 à la roseraie de Bagatelle . . .

Moi je pars en balade pour la journée . . .

Excellent week-end à toutes et tous !