Bâti en 1610 par des moines, c'est le bâtiment fondateur du hameau. Équipé à l'origine d'une roue horizontale intérieure, il est doté depuis le XIXème siècle d'une roue verticale extérieure. Le poids de l'eau sur la roue à godets entraîne l'engrenage qui actionne trois paires de meules différentes afin de moudre plusieurs sortes de céréales comme l'orge, l'avoine, ou le blé.
 

En entrant par la première porte on trouve au rez de chaussée le mécanisme en fonte dit "à l'anglaise" ...

... qui actionne la meule située à l'étage, directement sous le toit ...

La seconde porte nous emmène dans le logement du meunier, une grande pièce en bas avec une cheminée, et une seconde à l'étage mais pas de photo, c'était trop sombre. Plus tard sera construit un logement beaucoup plus grand ...

En bas juste une petite fenêtre pour éclairer la pièce, dont les volets sont situés à l'intérieur ...

 A suivre ...

Belle journée à toutes et tous !

... à Commana dans le Finistère. Situé dans une cadre accidenté et verdoyant, et bâti à partir de 1610, le hameau des Moulins de Kerouat invite à un véritable voyage dans le temps. Les deux moulins à eau, les fours à pain, les maisons et les bâtiments de ferme, préservés au fil des siècles, font revivre la vie quotidienne de la famille Fagot, lignée de paysans, de meuniers et de boulangers, qui a vécu dans ce village jusqu’en 1965. Le site des moulins de Kerouat est aujourd’hui un des écomusées du Parc Naturel Régional d’Armorique.

Voici le moulin du haut, qui a conservé sa roue et dont on visite l'intérieur. Mais avant, nous allons suivre l'eau avant qu'elle n'arrive ici ...

Aménagé en 1610, l'étang est alimenté par le Stain, affluent de l'Elorn. Grâce à un bassin de répartition l'eau est dirigée soit dans le bief, petit canal de 300 m qui alimente les moulins, soit dans son lit d'origine ...

Le bief qui serpente dans la vallée, et sa petite écluse ...

On s'approche ...

Et voila elle arrive, la roue peut tourner !

 A suivre ...

Et puis nous sommes lundi, voici un ciel pour Arlette, et ce sera celui de vendredi matin juste avant le lever du soleil ...

Beau mois d'octobre à vous !

... Écouché n'est pas un joli bourg comme tous ceux que j'ai pu vous montrer mais quand on se balade, et si on sait observer, on peut trouver de très jolies choses. Il existe un " circuit des ruelles du Vieil Écouché ", celles-ci sont bordées de grands murs laissant cependant entrevoir des tourelles datant des 15e et 16e siècles, situées en façade arrière et desservant les étages de ces maisons souvent bourgeoises. La première est une " tour coiffée ", elle servait sûrement de grenier ...

Une joli maison à colombages ...

Et puis le moulin alimenté par un bief, dans le canton il y en avait 29 en 1810. Possédé par le baron d'Écouché il était l'objet de banalités, le paysan venait y moudre son grain mais aussi en assurer le bon fonctionnement : curage du bief et des canaux, entretien du bâtiment, des meules, de la roue ...

Bon mercredi à toutes et tous !

. . . sur le plateau de Lassithi ! Quand nous arrivons au col il y a un petit vent très frais et nous sommes en tee-shirt. Heureusement nous trouvons un magasin qui vend des pulls, assez jolis, maman et moi en achetons un . . . nous ne nous en servirons pas ! 
La première chose que nous remarquons, ce sont des moulins, plutôt en mauvais état . . .

Mais sur le plateau ce sont les fameuses éoliennes que nous apercevons, on prétend qu'il y en aurait 10 000 ! Elles permettaient de pomper l'eau de la nappe phréatique profonde de 5 à 12 m . . . 

 La plupart du temps hélas elles n'ont plus leurs ailes blanches, elles sont aujourd'hui remplacées par des pompes électriques ! Les moulins de cette dernière photo ne sont sûrement pas anciens mais je trouvais que ça faisait un bel ensemble . . . ciel bleu, moulins blancs, et ficoïdes roses !

Belle fin de semaine à vous !

. . . du Gué Sainte Marie à Trois-Moutiers dans la Vienne . Ce moulin tour à toit pivotant date du XIX ème siècle , et il est l'un des derniers du département à posséder tout son système de fonctionnement , trémies , meules , bluterie , et tout son mécanisme en bois de cormier . Après la seconde guerre mondiale il n'avait plus ni ailes , ni toiture , il fut rénové entre 1971 et 1975 , et doté d'ailes Berton . . .

… un nouveau moulin sur l’Aure , après celui-ci ! Il s’appelle “ le moulin du Coisel “, et il appartenait au Moyen-Âge à l’évêque . Ce dernier recevait les habitants qui pouvaient l’utiliser , moyennant bien sûr une redevance ! C’était un moulin à grain , ou à huile de colza …

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Et puis je m’aperçois que j’ai zappé la semaine 28 du Projet 52 de Milie C’est quoi ce bruit dont le thème était “ En cuisine “. J’ai choisi un montage de 2 photos de notre repas de vendredi dans un petit restaurant de ma ville où l’on mange très bien pour pas cher du tout . Ahmed , jeune cuisinier de 22 ans , avait préparé en entrée un tartare de tomates et œuf poché , et en plat du merlu sur une légère purée d’asperges … un délice !

. . . tout près de Conques , le moulin de Sanhes , sur les bord du Dourdou . La maison juste à côté et que je vous montrerai un jour prochain était la demeure des abbés de Conques au 16ème siècle . Le site fut transformé en moulin au 18ème , il fonctionne encore aujourd'hui . . 

Je reviens sur mon billet d'hier pour vous donner le nom de cette rose à la belle couleur bois de rose comme me l'a joliment dit Fédora et au parfum envoûtant , il s'agit de Blue Girl !

. . . à Saint Chély du Tarn pour découvrir le moulin du Cénaret , qui se trouve juste à côté de la chapelle du même nom , chapelle que je vous ai montrée dimanche ! Ce moulin est aujourd'hui une boutique qui expose et qui vend des créations artisanales . Son originalité , c'est la source qui coule à l'intérieur et qui servait autrefois à faire fonctionner le moulin . . .

( aout 2013 )

. . . dans le Morbihan, entre Malansac et Limerzel, un endroit où il me plairait beaucoup d’habiter, que ça doit être agréable l’été !

( août 2014 )

. . . d'Artenay, dans le Loiret . Unique en Beauce, doté dés sa construction en 1849 d’une impressionnante machinerie, de trois jeux de meules et de la dernière innovation de l’époque : le Système Berton , il signale du haut des 16 mètres de sa tour de pierre, l’entrée dans le département. La toiture tournante (15 tonnes) est commandée de l’intérieur. Le système Berton permet de l’intérieur également, l’ouverture des ailes de planches de 22 mètres d’envergure. Endormi depuis 1905, il est sauvé de la ruine et restauré dans les années 70/80 par des bénévoles. Il moud le blé comme autrefois. Son imposante bluterie permet d’obtenir une farine des plus fines.

( source tourismeloiret.com )