Bienvenue sur mon petit blog photo ! Je suis loin d’être une pro, mais j’adore ça alors je ne m’en prive pas !
Je souhaite partager avec vous des photos des lieux où je me balade, des photos insolites, de fleurs bien sûr,
et pourquoi pas des photos amusantes …! J’espère que vous passerez un agréable moment en feuilletant
mes pages, et je vous remercie d'avance pour vos visites et vos commentaires !

 Cathy
 

 ( photo personnelle )

Mais avant ça ma participation au Projet 52 de Ma', nous nous absentons tout le week-end pour de jolis moments en famille, je ne publierai donc pas demain. Pour cette 17ème semaine elle nous propose d'illustrer sur la route. J'ai de suite pensé à cette photo prise il y a quelques années dans le Cantal ...
 

Mais revenons à nos moutons ... enfin à nos cui cui ... ou plutôt à nos oiseaux ! 😉🐦🕊🦅 Non vous n'aurez pas de "vrais" oiseaux, le peu de photos que j'ai vous les avez déjà vues, et revues ! Ce seront donc des faux oiseaux, accompagnés comme je le fais souvent par un joli poème ...
 

Les oiseaux
 

Orchestre du Très-Haut, bardes de ses louanges,
Ils chantent à l'été des notes de bonheur ;
Ils parcourent les airs avec des ailes d'anges
Échappés tout joyeux des jardins du Seigneur.
 

Tant que durent les fleurs, tant que l'épi qu'on coupe
Laisse tomber un grain sur les sillons jaunis,
Tant que le rude hiver n'a pas gelé la coupe
Où leurs pieds vont poser comme aux bords de leurs nids,
 

Ils remplissent le ciel de musique et de joie :
La jeune fille embaume et verdit leur prison,
L'enfant passe la main sur leur duvet de soie,
Le vieillard les nourrit au seuil de sa maison.
 

Mais dans les mois d'hiver, quand la neige et le givre
Ont remplacé la feuille et le fruit, où vont-ils ?
Ont-ils cessé d'aimer ? Ont-ils cessé de vivre ?
Nul ne sait le secret de leurs lointains exils.
 

On trouve au pied de l'arbre une plume souillée,
Comme une feuille morte où rampe un ver rongeur,
Que la brume des nuits a jaunie et mouillée,
Et qui n'a plus, hélas! ni parfum ni couleur.
 

On voit pendre à la branche un nid rempli d'écailles,
Dont le vent pluvieux balance un noir débris ;
Pauvre maison en deuil et vieux pan de murailles
Que les petits, hier, réjouissaient de cris.
 

Ô mes charmants oiseaux, vous si joyeux d'éclore !
La vie est donc un piége où le bon Dieu vous prend ?
Hélas ! c'est comme nous. Et nous chantons encore !
Que Dieu serait cruel, s'il n'était pas si grand !
 

Alphonse de Lamartine

On se retrouve lundi ... de bonne heure et de bonne humeur !

Excellent week-end à vous !

Mais avant une petite précision, la carte ancienne montrée hier représente la halle actuelle, construite en 1848, je pense que cette carte a une bonne centaine d'années. Les tout débuts de la photographie c'est 1839, et les toutes premières cartes postales dateraient de 1893.
 

... et terminons notre visite de Fresnay sur Sarthe. Nous nous y sommes arrêtés juste un petit moment, nous n'avons donc pas fait la visite complète du bourg, il y a je pense d'autres choses à voir.

Pont et moulin

Le passage à gué qui donne accès à la ville sous la surveillance directe du château fut équipé dès le XVème  siècle d’un pont en bois. Cette voie qui menait vers l’Anjou était très fréquentée, raison pour laquelle le pont fut reconstruit en pierre dans la deuxième moitié du XVIIIème siècle. Il se nomme pont de Sillé du nom d'une petite ville pas très loin, Sillé le Guillaume, et enjambe la Sarthe.

Le moulin du Creusot, installé sur un îlot dès le Moyen Âge ( il est cité dès le XIIème siècle ), comportait deux roues et travaillait les céréales. Il disparut en 1876 victime d’un incendie. Le moulin
actuel fut aussitôt reconstruit, avec une seule roue, et fonctionna jusque dans les années 1970.
 

Carte ancienne trouvée sur Ebay

Maisons de tisserands

Disséminées dans toute la ville ces maisons de tisserands témoignent encore du passé toilier de Fresnay. Elles sont reconnaissables à leurs escaliers en pierre et à leurs caves parfois semi-enterrées, mais qui communiquent toujours avec la rue. Les caves abritaient parfois plusieurs métiers à tisser. Le sol en terre battue et la faible luminosité permettaient de conserver une forte hygrométrie nécessaire au travail du fil. On y produisait des toiles de lin, de chanvre et de métis. La spécialité de Fresnay réside dans le tissage de toiles d’une largeur de 5,40 mètres destinées à la marine et à la grande peinture. 

Mes deux photos ont été prises du jardin public, situé dans l'ancienne enceinte du château.
 

Maisons médiévales

De nombreuses maisons médiévales se situent de part et d’autre de la Grande Rue, artère principale de la ville au Moyen Âge, et d'autres plus récentes. Ici la maison du lieutenant général de police construite en 1702 avec son fronton triangulaire. Dans le cœur du bourg ancien la plupart des maisons ont été reconstruites ou modifiées au cours des XIXème et XXème siècles.
 

( source textes Office de Tourisme des Alpes Mancelles )

Fontaine du Lion

Située sur la place Thiers elle représente un lion* dressé sur ses pattes arrières, le lion étant l'emblème de Guillaume le Conquérant ( qui s'est emparé plusieurs fois de cette place forte ). De ses deux pattes il enserre un frêne stylisé à trois couronnes, qui serait à la base du nom de la ville.
( source texte Fontaines de France )
 

Pour terminer deux " photos plaisir " ...
 

* Renseignements pris il semblerait que l'emblème de Guillaume le Conquérant, également présent sur le drapeau de Normandie ( en double ), ne soit pas le lion mais le léopard. Un léopard sans taches mais avec une tête de lionne, et qui incarnait à l'époque la bravoure.

A demain pour tout autre chose.

Belle journée à toutes et tous !

... aujourd'hui à la découverte d'un petit bourg de la Sarthe, Fresnay sur Sarthe. La cité est bâtie sur un
promontoire rocheux qui domine une boucle de la Sarthe, à l'emplacement d'un gué. Sa situation stratégique entre le comté du Maine et le duché de Normandie lui valut d'être dotée d'un château dès le Xème siècle, un bourg castral se créa alors dans le voisinage.
 

Le château

Il fut vraisemblablement construit au Xème siècle comme dit plus haut, par les vicomtes de Beaumont. Au Moyen Âge il fut plusieurs fois agrandi et remanié. Après l’occupation anglaise (1420-1450) sa fonction
militaire déclina mais jusqu’au XVIème siècle il demeura sous la garde de seigneurs. Au XVIIIème siècle 
il n’était plus entretenu et les bâtiments tombaient en ruine à l’exception du châtelet et du grenier à sel
donnés par Louis XIV à la ville pour servir de prison et de tribunal. En 1900 la ville acheta la totalité du site pour aménager l’actuel jardin public. Les destructions successives qui ont amené le château à l’état de ruine permettent difficilement de restituer son aspect d'origine.
 

La porte

Cette porte fut remaniée au début de la guerre de Cent Ans. Ses hourds, qui couronnaient les tours, ont disparu, il ne reste que les meurtrières, l'endroit où était suspendue la herse, les gonds, et le passage charretier qui était protégé par un pont-levis.
 

Hourd : charpente en encorbellement au sommet d'une tour, d'une muraille.
 

Photo Moyen Âge Passion
 

Carte ancienne trouvée sur Ebay

La porte vue de l'intérieur.

Le donjon

Les bases de cette construction bâtie au XIème siècle sont encore visibles sur le mur nord. Les étages étaient composés de planchers de bois reposant sur un solivage flottant. Ce donjon semble avoir été délaissé progressivement à partir du XIIIème siècle, abandon qui devint définitif lors des destructions provoquées par les huguenots au XVIème siècle.
 

Les halles

La présence de halles à Fresnay est mentionnée dès 1460. Le bâtiment d’origine construit sur poteaux avait une double fonction : faciliter le commerce, et abriter le tribunal dans une salle haute appelée auditoire. A une date inconnue l'auditoire fut déplacé dans un nouveau lieu, la salle haute devint une maison divisée en appartements. Au milieu du XIXème siècle la mairie envisagea la construction de nouvelles halles, et en 1848 l’édifice actuel fut construit à l’emplacement de l’ancien. Vers 1900 il servait de marché aux grains au rez de chaussée, et de magasins de toiles à l’étag. Elles sont devenues salles de spectacle et de cinéma.
 

 Carte ancienne trouvée sur Fresnay sur Sarthe

A demain pour la suite et la fin.

Bon mercredi à vous !

Nous allons aujourd'hui continuer notre visite de Pompéi, merci infiniment pour l'accueil que vous avez réservé au premier volet, j'ai cru comprendre que ça vous avait beaucoup plu ! 😉

Thermes suburbains

Il n'y a pas moins de 6 thermes à Pompéi ! Ceux-là se nommes "suburbains" car ils sont situés hors des murs de la ville. Ils furent construits au cours de la première décennie du 1er siècle, et contrairement aux autres il n'y avait aucune distinction entre les hommes et les femmes. Il s'agissait des thermes les plus modernes de la ville, avec d'importantes innovations dans les installations et systèmes de chauffage, comme par exemple une grande piscine chauffée. Les thermes étaient payants pour les adultes, et gratuits pour les enfants, de temps en temps les empereurs décrétaient une journée gratuite. Ils ont été surnommés " Thermes du Plaisir ", en effet les marins qui débarquaient au port venaient en ces lieux avant d'entrer dans la ville pour se laver, se détendre, et s'autoriser quelques plaisirs ...

Porte Marina

Autrefois porte d'entrée de la ville depuis le port, c'est aujourd'hui l'entrée principale du site. La pente raide devait rendre cette montée difficile mais c'était le seul moyen de relier le port au forum. Elle comporte deux passages voûtés, l'un pour les piétons, l'autre plus large et plus haut était utilisé par les charrettes et les charriots. Le tunnel est doté d'une voûte en berceau qui longe le Temple de Vénus.
 

Temple de Vénus

Ce lieu de culte dédié à Vénus, protectrice de la ville et des navigants, a été construit dans la seconde moitié du II ème siècle avant JC. Le bâtiment, entièrement réalisé en marbre, était situé dans la partie de la ville offrant la meilleure vue sur la mer, donc bien visible pour les navires. Il ne reste plus grand-chose du temple en raison des dommages qu'il a subis lors du tremblement de terre de 62 après JC, et aussi parce qu'il a été dépouillé de son marbre lors de l'éruption du Vésuve. 

Source texte et image reconstitution Planet Pompeii

Temple de Fortune Auguste

Il fut construit aux frais de Marcus Tullius, un parent du célèbre orateur Cicéron. Le temple acquit ainsi une connotation politique, et à chaque fois qu'un nouvel empereur accédait au trône les ministres faisaient aussitôt construire une statue qui était placée dans le temple pour commémorer l'évènement. Ce bâtiment était assez petit, il fut lui aussi en partie détruit lors du tremblement de terre de 62 mais n'a jamais été entièrement reconstruit. Une niche abritait la statue de Fortuna Augusta ( Fortuna était une divinité allégorique de la chance, elle représente le destin avec toutes ses inconnues ).

Forum triangulaire

C'est le second forum de Pompéi, il donne accès à la zone des théâtres. Il est situé sur le promontoire de la colline de Pompéi et offre une large vue sur la plaine en contrebas, donc clairement visible depuis la mer. Il doit son nom à la configuration du terrain qui s'avance vers la plaine en formant une espèce de bastion naturel. Il a été construit au milieu du VIème siècle avant JC et était consacré à Hercule. Il fut abandonné quelques temps avant la destruction de Pompéi.

Désolée je n'ai que cette photo, c'est à peine si j'ai eu le temps de m'arrêter pour la prendre.
 

Gravure trouvée sur mediterranees
 

Plan trouvé sur Wikipédia, on voit bien la forme triangulaire en vert.
 

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Pour terminer c'est Lundi Soleil chez Bernie, toujours en vert ! J'ai cette fois choisi le joli vert tendre de ces hellébores fétides, certes moins jolies que les autres, mais elles ont du charme malgré tout.
 

A mercredi pour tout autre chose.

Belle semaine à toutes et tous !

Alors je sais Pâques est passé depuis 3 semaines déjà, mais quand j'ai vu ce lapin dans une vitrine parisienne mercredi je n'ai pas pu m'empêcher de lui tirer le portrait ! N'est-il pas trognon avec sa jolie veste et son gros nœud papillon rose ...?!!! 🐰En tous cas moi j'ai craqué !

Patricia est en vacances mais cette photo me plaisait trop ! 😉
 

Ma' pour son Projet 52 nous demande d'illustrer le mot découverte. Aïe, c'est encore bien compliqué,
difficile de faire original ! Je vous propose la découverte ( pour nous en tous cas ! ) du Gros Horloge à Rouen, faite il y a 3 semaines. Je n'ai pas fait d'erreur, le mot ici est bien masculin.
 

Et enfin pour Jean-Pierre et ses fleurs du samedi j'en ai encore choisi trois d'actualité : tulipes
( en ce moment dans mon jardin ), glycine blanche et lilas ( photos plus anciennes ).
 

La première strophe d'un poème de François COPPÉE

A un lilas
 

Je vois fleurir, assis à ma fenêtre,
L'humble lilas de mon petit jardin,
Et son subtil arome qui pénètre
Vient jusqu'à moi dans le vent du matin ...
 

A lundi pour tout autre chose.

Excellent week-end à vous !

Avant toute chose encore désolée de vous avoir fait faux bond hier. Mais ça m'a permis de faire tout un tas de choses que je n'aurais pas eu le temps de faire si j'avais publié.

Mais revenons ... non pas à nos moutons mais à nos ciels, quoique un ciel moutonneux ou moutonné ... ça existe ! 😁 Tiens d'ailleurs, certaines m'ont dit qu'on doit dire cieux et pas ciels, et bien non ! Même si au Moyen Âge les mots en -el ou en -iel faisaient leur pluriel en -eux, le pluriel de ciel, celui qu'on a au-dessus de la tête, est bien aujourd'hui ciels. Le mot cieux existe toujours mais il a une connotation plutôt spirituelle, voire religieuse ( Notre père qui êtes aux cieux ). Au Moyen Âge on disait " un chevel - des cheveux ", ou " un miel - des mieux ". Après cette minute d'orthographique ... mes ciels, accompagnés d'un joli poème !

Le ciel
 

Le ciel, il faut le ciel vaste comme le vide
A mon front ivre d'air, à mon cœur fou d'azur !
Le ciel sublime, avec son grand soleil d'or pur
Et ses astres cloués à sa voûte solide ;
 

Avec ses soirs troublés, son aurore limpide,
Ses nuages de pourpre et d'or, au vol peu sûr,
Qui vont, et se heurtant en leur chemin obscur,
Se déchirent, laissant pendre un lambeau splendide.
 

Quand le doute a séché mon âme jusqu'au fond,
Père toujours fécond des sèves rajeunies,
Ciel géant, receleur des choses infinies !

Je te regarde alors, comme les rêveurs font,
Et j'espère, sentant sous mes tempes glacées
L'épanouissement sonore des pensées.

Albert MÉRAT

A demain pour les défis du samedi.

Bon vendredi à toutes et tous !

Je suis vraiment désolée mais je ne publierai encore pas aujourd'hui. Rentrée hier soir à 20h30 avec un retard de train de 20 mn, et fourbue après plus de 23 000 pas, je n'ai même pas allumé l'ordinateur ! Un fait exprès je n'avais plus aucun article de prêt, et j'ai une tonne ( enfin un peu moins ! 😉 ) de mails. Je me mets à jour et je vous retrouve demain, de bonne heure et de bonne humeur !!!

D'autre part il vous reste tout pile 2 semaines pour m'envoyer vos photos de jardins pour nos Collections de ... Cette fois-ci ça ne se bouscule pas alors qu'en général c'est un thème qui a beaucoup de succès.
 

Excellente journée à vous !

( commentaires volontairement fermés )
 

... c'est une église ... mais ça n'en est plus tout à fait une ! L'église Saint-Laurent à Rouen fut tout d'abord un petit oratoire de faubourg qui devint paroisse en 1204. Elle fut, comme tout le quartier autour, détruite par un incendie en 1248, l'église actuelle fut construite au XVème siècle. Elle connut ensuite bien des vicissitudes, tempêtes, mise à sac par les huguenots, incendie ... Le culte fut supprimé dans l'église en 1791, et un club révolutionnaire s'y installa. Elle fut ensuite vendue et transformée en remise pour voitures de louage, puis fut louée à des repasseuses ! En 1893 la ville de Rouen l'acheta, et la fit classer Monument Historique. En 1911 le Musée d'Art Normand s'y installa pour une dizaine d'année, et en 1921 s'y installa le ...

Musée Le Secq des Tournelles
 

Ce musée, tout entier dédié aux arts de la ferronnerie, doit son existence à Henri Le Secq Destournelles. Il était peintre mais aussi photographe, et il fut retenu par la commission des monuments historiques pour faire un état des lieux du patrimoine architectural français. Tout au long de sa vie il collectionna des pièces de ferronnerie dans son modeste appartement du quai de Béthune à Paris. A sa mort il légua les près de 6000 pièces à son fils Henry qui transformera son nom selon l'orthographe actuelle. En 1921 la collection fut léguée à la ville de Rouen à la condition de la réunir dans un local approprié, ce qui fut fait. Le musée s'est depuis enrichi de dons et d'achats au cours du XXème siècle, il compte aujourd'hui plus de 15 000 pièces.
( sources Rouen Histoire et Patrimoine Histoire )
 

Nous sommes arrivés ici tout à fait par hasard, alors que nous cherchions l'Office de Tourisme. L'entrée du musée est gratuite et nous avons été de suite attirés par ce que nous avons vu. Nous y avons passé une heure mais si on veut vraiment tout voir en détail 3 ou 4 h ne seraient pas de trop. Les photos sont autorisées mais pas évidentes à faire car la plupart des pièces sont dans des vitrines, vous pardonnerez donc la piètre qualité de certaines. Voici le premier volet, il y en aura un second avec une catégorie de pièces bien particulière. Pas mal de photos, mais peu de blabla maintenant ...

Grille de porte et porte classique de l'empire germanique armoriée ornée du lion et de l'aigle
Allemagne ou Autriche, XVIème siècle.

Coffrets gothique à contreforts, France fin XVème début XVIème siècles
 

Mouchettes ( sorte de ciseaux servant à couper la partie consumée de la mèche de la chandelle )
 

Ciseaux à broder et repose fer à repasser

Étuis à ciseaux
 

Fermoirs à escarcelles ( sorte de grande bourse portée à la ceinture )
 

Bon tout compte fait ... il n'y aura pas un mais deux autres articles sur ce sujet !
 

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Maintenant mes deux défis de ce lundi.

Nous sommes le 15 et c'est donc la photo du mois pour Oth, en avril on parle apéritif ! Rien de très extraordinaire, un petit spritz, ça vous dit ...? Oui ...? Alors servez-vous !!!

Et on termine par le Lundi Soleil de Bernie qui est toujours en vert, et j'ai choisi ... une voiture !!!
Mais très différente de celle de samedi, jugez plutôt ...
 

A jeudi pour tout autre chose. Eh oui mercredi je fais une petite escapade, je pars à 7h30, je reviens après
20 h donc aucune publication et pas de commentaires chez vous.

Excellente semaine à vous !

Originale cette voiture "rencontrée" cette semaine ( et garée devant un panneau " stationnement gênant " ! ), il s'agirait d'une coccinelle Woody Woodpecker ... à vérifier !

Qu'ils soient originaux ou pas la liste des participants est chez Patricia.
 

Ma' pour son Projet 52 nous propose d'illustrer amusant. Pas si facile que ça en a l'air, ce qui est amusant pour l'un ne l'étant pas forcément pour les autres ! J'ai choisi cette petite affichette dans
une crêperie des Andelys, dans l'Eure.
 

Et enfin pour Jean-Pierre et ses fleurs du samedi j'en ai choisi trois qui sont actuellement dans mon jardin : ma dernière fleur de camélia, des scilles campanulées, et deux pâquerettes.
 

Pour terminer la première moitié d'un poème de Philéas LEBESGUE
 

Pâquerette
 

Pâquerette, pâquerette,
Il y a des gouttes d'eau
Sur ta collerette
Et tu plies un peu le dos ...
Pâquerette, pâquerette,
Le beau soleil printanier
Viendra-t'il les essuyer ?
Pâquerette, pâquerette,
Qui souris près du sentier,
Je te le souhaite ...
 

A lundi pour une nouvelle découverte.

Doux week-end à toutes et tous !