Une autre . . .
. . . de mes marottes, les cadrans solaires ! Les plus anciens ont été retrouvés en Egypte, et ils fonctionnent grâce au déplacement de l'ombre au cours de la journée, ombre liée au déplacement apparent du soleil dans le ciel, lequel reflète la rotation de la terre . . .
Celui que je vous présente est à Thizy dans l'Yonne, sur le mur d'une maison . Voici la traduction d'un texte latin trouvé près d'un autre cadran, à Noyers sur Serein :
Quel meilleur guide de notre vie, qui nous enseigne mieux les choses d'ici-bas que l'heure, par le seul pas rapide dont elle s'enfuit ; tu n'en as qu'une à craindre : elle va et vient accompagnant ta route, l'ombre que tu redoutes . Nous ne sommes nous autres hommes, qu'une ombre fugace, qui ne reviendra pas .